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Notice d'autorité
Académie canadienne-française
Collectivité

L'Académie canadienne-française est fondée en 1944 par un groupe d'écrivains québécois dirigés par Victor Barbeau, dans le but de servir et défendre la langue française et la culture canadienne-française, et dont la devise est «Feu qui dure». L'organisation compte alors vingt-quatre membres désignés comme Académiciens, élus par vote secret et à la majorité absolue des voix. Victor Barbeau occupe le siège de président-fondateur de 1944 à 1972.

L'Académie décerne annuellement un prix de littérature, accompagné d'une médaille, à un auteur de langue française pour l'ensemble de son oeuvre. Germaine Guèvremont, 1945, Gabrielle Roy, 1956 et Paul Morin, 1961 ont notamment reçu ce prix. L’Académie a aussi le mandat d’effectuer la publication d'ouvrages écrits en langue française, la distribution de bourses d'études destinées aux étudiants ainsi qu'aux jeunes écrivains et des remises de prix pour le maintien des traditions et des vertus canadiennes-françaises. De plus, elle recueille des dons sous forme d'argent et de livres afin notamment de créer une bibliothèque répertoriant de nombreuses œuvres littéraires en français.

En 1992, l'Académie canadienne-française prend le nom d'Académie des lettres du Québec. En 2004, elle compte 36 membres.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.

Acfas
Collectivité

L'Acfas (anciennement Association canadienne-française pour l'avancement des sciences (1923-2001) puis Association francophone pour le savoir (2001-2019)) est créée le 15 mai 1923 par un groupe de représentants de différentes sociétés scientifiques réunis sous l'égide du président de la Société de Biologie de Montréal (SBM), Arthur Bernier, et de son secrétaire, le frère Marie-Victorin, dans le but de former une fédération assurant la liaison entre toutes les sociétés scientifiques du Canada français et de favoriser le développement et l'avancement de toutes les sciences.

Officiellement inaugurée un an plus tard (le 15 mai 1924), elle connaît d'abord des débuts difficiles avec la création de l'institut scientifique franco-canadien, en 1926, institut que le frère Marie-Victorin va jusqu'à accuser de sabotage. L'Acfas ne recevra ses premières lettres patentes qu'en 1931, malgré l'organisation de conférences publiques mensuelles dès 1925.

À l’été 1930, l’Acfas collabore avec le journal Le Devoir et la Société canadienne d’histoire naturelle, à l’organisation d’un important concours de botanique auquel participe notamment Marcelle Gauvreau, puis à l’organisation des Cercles des jeunes naturalistes créés le 17 février 1931, suite à ce concours.

Le premier congrès annuel de l'Acfas, organisé en grande partie grâce à son secrétaire général de l'époque Jacques Rousseau, a lieu du 2 au 4 novembre 1933 à Montréal. Plus de 160 communications y sont présentées et le premier volume des Annales recueillant les communications des deux premiers congrès est publié en 1935.

En 1934, une première section régionale est ouverte à Québec. D'autres sections régionales seront ensuite créées au fil des décennies à Ottawa, Moncton, Sherbrooke et Sudbury. Aujourd'hui, l'Acfas compte six sections régionales en activité (Acadie, Alberta, Manitoba, Saskatchewan, Sudbury et Toronto).

En 1944, l'Acfas décerne pour la première fois un prix visant à récompenser la contribution exceptionnelle d'un chercheur à la recherche scientifique. D'abord nommé Médaille de l'Acfas, ce prix sera ensuite renommé Léo-Pariseau en 1954 en l'honneur du premier président de l'association. Plusieurs autres prix seront créés par la suite afin de récompenser les chercheurs et chercheuses provenant de différents domaines des sciences.

En 1991, l'Acfas fait l'acquisition de la Maison de l'Acfas, rue de la Gauchetière Est à Montréal, afin d'y installer ses bureaux de façon permanente. Les employés de l'Acfas s'y installeront l'année suivante.

Afin de diffuser et de vulgariser la recherche scientifique, l’Acfas subventionne la publication de mémoires, de rapports et d'enquêtes, publie le magazine d'actualité scientifique le Magazine de l'Acfas (anciennement Interface (1984-2000), puis Découvrir (2000-2019)), remet annuellement des prix de la recherche scientifique et organise divers concours, colloques et conférences en plus de son congrès annuel.

En 2022, le fonds d'archives de l'Acfas est inscrit au Programme Mémoire du Monde de l’UNESCO mettant en valeur le patrimoine documentaire mondial le plus significatif.

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Agence de presse libre du Québec
Collectivité

L'Agence de presse libre du Québec (APLQ) est créée en 1968 par Charles Meunier et Jacques Larue-Langlois. Jusqu'en 1971, l'Agence fonctionne sporadiquement comme bureau de presse pour des groupes populaires et politiques. À la suite des événements d'Octobre 1970, d'anciens membres de la revue Quartier Latin et quelques journalistes professionnels obtiennent l'incorporation de l'APLQ à titre d'association sans but lucratif. L'APLQ poursuit, entre autres, les objectifs suivants: mettre sur pied un réseau national d'information libre à partir des bases populaires; mieux connaître les conditions de lutte. Entre 1971 et 1973, l'APLQ publie un Bulletin d'information hebdomadaire qui assure son expansion. En octobre 1972, les forces policières effectuent une perquisition dans les bureaux de l'APLQ, ce qui entraîne la destruction de la majeure partie des documents appartenant à l'Agence. Ces événements seront ensuite étudiés, en 1977, par la Commission d'enquête Keable. Pour sortir de la marginalité, accroître son nombre d'abonnés et diffuser une information encore plus accessible, le Bulletin cède la place, en 1973, à un bimensuel intitulé Le Bulletin populaire. En même temps, l'APLQ organise sa propre imprimerie au service du mouvement ouvrier et populaire. En octobre 1973, une première scission entraîne le départ de la moitié des militants. En 1974, l'Agence se rallie au Regroupement des comités de travailleurs (RCT). En 1976, l'Agence procède à son autocritique sous la direction de la Ligue communiste. Le Bulletin populaire paraît pour la dernière fois en mai 1976. À ce moment, l'APLQ cesse d'exister.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.

Collectivité

L'Association canadienne de gestion des achats (district de Montréal) fut fondée le 24 mars 1919. Cette association, membre de l'Association canadienne de gestion des achats située à Toronto se consacre à l'amélioration, au développement et à la recherche des pratiques d'approvisionnement et de gestion du matériel. Ainsi, elle offre à ses membres de la formation qui leur sera utile dans leur travail de gestion du matériel ou de l'approvisionnement. Cette formation est dispensée sous forme de cours spécialisés et de séminaires. L'Association se compose d'un conseil d'administration formé d'officiers, d'un comité exécutif formé de directeurs et d'un directeur régional.

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Collectivité

L'Association coopérative d'économie familiale de Montréal (ACEF) est créée le 15 mars 1968 suite à la concertation d'une vingtaine d'organismes (coopératives d'épargne et de crédit, syndicats et agences sociales) dans le but de solutionner des problèmes de budget. L'ACEF désire offrir un service de consultation budgétaire et juridique, éduquer les gens sur leurs droits et réformer certaines lois. Dès ses débuts, l'ACEF ouvre des bureaux à Montréal, Granby, Joliette, Sainte-Thérèse et sur la Rive-Sud et n'accepte que les organismes comme membres. De 1970 à 1973 un processus de décentralisation débute. Des bureaux de quartier s'implantent à Montréal tandis que les bureaux hors de Montréal acquièrent leur autonomie. De 1973 à 1976, l'ACEF mène plusieurs luttes avec l'aide de groupes populaires et syndicaux. À partir de 1976, les membres individuels sont acceptés et en 1977, l'ACEF s'oriente vers le rapprochement des classes laborieuses s'associant à ces dernières faces à plusieurs luttes. Entre 1977 et 1979, l'ACEF compte sept bureaux de quartier ainsi qu'un bureau régional. Trois fermeront en 1979 et un deviendra autonome. Dans les années 1980, plusieurs difficultés assaillent l'organisme et à partir de 1982, chaque secteur devient légalement autonome, formant ainsi trois ACEF à Montréal, soit l'ACEF de l'est, celle du nord et celle du centre. Le 1er mars 1984, l'Assemblée générale sonne le glas de l'ACEF de Montréal. Toutefois, les activités et services continuent d'être offerts par les trois ACEF encore en opération sur le territoire de Montréal.

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Association des cadres de l'UQAM
Collectivité

Fondée le 19 janvier 1972, l'Association des cadres de l'Université du Québec à Montréal tient sa première assemblée générale le 3 février de la même année. Cette association, qui réunit les cadres de l'UQAM, a pour but de servir les meilleurs intérêts de ses membres principalement par la négociation et l'application d'un protocole d'entente. L'ACUQAM sera incorporée en 1978.

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Collectivité

En 1983, un certificat de premier cycle en gestion des documents administratifs et des archives est créé à l’UQAM afin de former des gestionnaires professionnels dans le domaine des documents administratifs et des archives. Le 5 décembre 1985, le conseil de programme du certificat crée un comité de promotion qui met en place un regroupement de diplômés. Le 14 janvier 1987, l'Association des diplômés et des diplômées en gestion des documents administratifs et des archives de l'UQAM (ADGDAA UQAM) reçoit ses lettres patentes. L’association vise alors à assurer une promotion et une meilleure visibilité des diplômés sur le marché du travail, à contribuer à la création d'emplois et à faire connaître le programme du certificat auprès d'organismes publics, d'entreprises privés et du public. Au cours de son existence, cette association s'est impliquée dans la réalisation d'activités sociales et de formation pour ses membres ainsi que dans la création et la diffusion d'un bulletin d'information intitulé AGD TRUC. L'association cesse ses activités en 1994.

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Collectivité

Incorporée en 1977, l'Association existait depuis 1975 sous le nom d'Association des diplômés en administration de l'UQAM. De 1977 à 1985, l'ADSG connaît des périodes d'activités irrégulières: cocktails annuels, tournois de golf, déjeuners-causeries, publication d'un journal et offres d'emplois. À la fin de 1984, un groupe de diplômés relance l'Association et en augmente les activités. Les règlements généraux sont révisés et les structures consolidées. Un nouveau magazine, Gestion-Club, remplace Post-Scriptum et devient rapidement le principal moyen de communication de l'Association.

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Collectivité

L’Association des employés non syndiqués de l’UQAM (AENSUQAM) est créée en décembre 1975 sous le nom d'Association des employés de soutien non syndiqués de l’UQAM. En mai 1976, l’Association procède à l’élection des membres de son comité exécutif et l’assemblée générale adopte les règlements de l’Association en octobre de cette même année. Dès avril 1977, l’Association forme un comité de travail chargé d’élaborer un projet de protocole pour les employés non syndiqués de l’Université. En octobre 1977, débutent les discussions entourant l’élaboration du premier protocole déposé par l’Association et adopté en août 1978 par le Conseil d’administration de l’UQAM. Au fil de son existence, l’Association modifie son appellation pour devenir l’Association des employés non syndiqués de l’UQAM (AENSUQAM), appellation qu’elle adopte officiellement en 1987. Au mois de juin 1987, l’Association se dote d’un journal intitulé Trait d’union dont la parution trimestrielle fournit aux membres des informations sur les activités de cette dernière.

L’Association des employés non syndiqués de l’UQAM a pour objectif de représenter les employés non syndiqués auprès de l’Université du Québec à Montréal, de participer pleinement aux activités de la communauté universitaire et de jouer un rôle d’interlocuteur auprès de l’administration de l’Université concernant tout ce qui touche les conditions de travail du personnel non syndiqué.

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Collectivité

L'Association des hommes d'affaires de Montréal est créée, en décembre 1927, sous le nom d'Association des hommes d'affaires du nord de Montréal (AHANM). Les fondateurs, un groupe de marchands, d'industriels et de commerçants, veulent travailler au progrès de leur milieu, résoudre leurs problèmes communs et s'assurer, au besoin, une représentation collective auprès des pouvoirs publics. Une motion du Conseil municipal de Montréal accepte la formation de l'AHANM, qui obtient son incorporation en février 1935. La crise économique des années 1930 et le développement urbain du nord de Montréal monopolisent la première décade d'activités de l'AHANM. La mise sur pied d'un secrétariat permanent au début des années 1940 centralise la régie interne et permet d'assurer un travail continu. L'Association commence alors à publier un annuaire ainsi que des bulletins d'information. Dans le but d'amplifier le mouvement de coopération entre les membres, l'AHANM organise des conférences, des dîners-causeries, diverses réunions sociales, des visites industrielles, etc. Parallèlement, elle offre des cours de perfectionnement, de vente au détail, de personnalité, etc. Ses comités d'action, ses ateliers de travail et les rencontres qu'elle organise sont à la recherche de solutions aux problèmes économiques et urbains du temps. En 1963, le journal mensuel de l'Association fait peau neuve sous le nom L'Homme d'affaires. Dix ans plus tard, les 14 comités existants sont concentrés en trois comités distincts: les comités des affaires sociales, des affaires publiques et de la publicité. Entre 1967 et 1976, l'AHANM présente de nombreux mémoires concernant l'aménagement du nord de la ville. L'Assemblée générale spéciale tenue le 21 février 1979 décide de modifier le nom de l'AHANM pour celui de l'Association des hommes d'affaires de Montréal.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.