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Notice d'autorité
Personne

D'origine turque, Jacques Zouvi est né le 23 mai 1931 à Paris. Orphelin, il arrive au Canada en 1947, avec d'autres orphelins de guerre amenés au pays grâce au Congrès Juif canadien. Après un séjour à Toronto, il s'installe à Montréal pour suivre des cours d'art dramatique à l'Université Sir Georges Williams. Au début des années 1950, de retour au Québec après un séjour d'études de quelques mois à Paris, il entre à l'école du Théâtre du Nouveau Monde (TNM). En 1951, il remporte le premier prix de soutien au Festival d'art dramatique. La même année, il entre à la Montreal Repertory Theatre (MRT).

Au cours de sa carrière, Jacques Zouvi participe à plusieurs productions théâtrales, en français et en anglais, tant au Québec qu'au Canada. On le retrouve, notamment, au TNM, à l'Égrégore, au Manitoba Theater Centre, au Rideau Vert, au Centre national des Arts d'Ottawa, etc. Il est de la distribution, entre autres, de : The Misser (1951-52), Ankarina (1955), La nuit des rois (1956), Les Caprices de Marianne (1962-63), Richard II (1964), Le bourgeois gentilhomme (1967-68), Arlequin, serviteur de deux maîtres (1969-70), Les précieuses ridicules (1979-80), etc. En 1960, à l'Égrégore, il met en scène Fin de partie de Samuel Beckett, pièce pour laquelle il obtient la mention de la meilleure mise en scène lors du Festival d'art dramatique de Montréal. Comédien et animateur à la télévision, il fait aussi quelques apparitions au cinéma. Jacques Zouvi est cofondateur du Théâtre de 10 heures (1957-58), de la Compagnie de Montréal (1960) et du Centre Théâtre (1961-62). Directeur artistique du Théâtre des Jeunesses Musicales, il est aussi metteur en scène au Conservatoire d'art dramatique de Montréal et à l'École nationale de théâtre du Canada. Professeur au Cégep de Saint-Hyacinthe, entre 1969 et 1984, il met en scène plusieurs pièces dont ses propres créations. Jacques Zouvi est décédé le 7 janvier 1989.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une notice biographique complète du créateur du fonds.

Personne

Andrée Yanacopoulo est née à Tunis, en Tunisie, le 14 novembre 1927. Elle fait ses études primaires et secondaires au lycée de Tunis, puis, en juin 1948, elle entre en médecine à l'Université de Lyon, France. Elle y soutient sa thèse de doctorat sur le syndrome carotidien en mai 1956. Après un séjour de quatre ans en Martinique, pendant lequel elle est attachée à l'hôpital psychiatrique de Colson (1956-1959), elle vient s'établir au Québec, en 1960. De 1961 à 1964, elle est professeure au Département de sociologie de l'Université de Montréal, y enseignant la psychiatrie sociale, tout en poursuivant une recherche sur le suicide chez les Canadiens français à Montréal. Elle enseigne ensuite aux départements de sociologie du Collège Sainte-Marie et de l'Université du Québec à Montréal (1968-1973) puis, entre 1974 et 1989, elle est professeure au Département de psychologie du Cégep de Saint-Laurent.

En parallèle à son enseignement, Andrée Yanacopoulo est aussi active dans le domaine de l'édition. Collaboratrice régulière du magazine Spirale, elle codirige avec Nicole Brossard, de 1977 à 1983, la collection Délire aux éditions Parti-Pris et les collections Idéelles et Réelles aux éditions du Jour et aux éditions Quinze. Directrice littéraire des éditions Primeur, de 1983 à 1985, elle est membre également du Comité directorial et du Comité éditorial de l'édition critique de l'oeuvre d'Hubert Aquin. Traductrice, lectrice et correctrice de manuscrits, Andrée Yanacopoulo est également auteure de monographies et d'articles touchant le féminisme, la médecine, les sciences, etc. Compagne d'Hubert Aquin de 1963 à 1977, elle a écrit, à la suite du décès de son conjoint, un livre intitulé Signé Hubert Aquin : enquête sur le suicide d'un écrivain. Mère de deux enfants issus d'un premier mariage, Andrée Yanacopoulo a eu un fils avec Hubert Aquin en 1968.

N.B. : le texte précédent ne constitue pas une notice biographique complète.

van Schendel, Michel (poète)
Personne

Michel van Schendel est né le 16 juin 1929 à Asnière, en France, de parents belges. Il passe son enfance en Belgique puis retourne en France après la guerre où il étudie le droit et les sciences économiques à l’Université de Paris. À cette époque, il milite au sein du Parti communiste français et est initié à la pensée et au travail artistique auprès d’amis peintres, notamment Émile Hecq et Louis Tournay. Dès lors, l’ensemble de l’œuvre de Michel van Schendel sera empreinte de ce lien indissociable entre le travail intellectuel et le travail poétique. En 1952, il émigre au Québec.

En 1955, après plusieurs petits boulots, le réalisateur Hubert Aquin lui commande une série de chroniques pour la Société Radio-Canada. Très engagé sur le plan culturel et social, Michel van Schendel sera enseignant, journaliste, chroniqueur et rédacteur (journal Le Devoir, Nouveau Journal, radio et télévision de Radio-Canada), ainsi que traducteur et secrétaire à la Commission provinciale d’enquête sur l’urbanisme (Commission La Haye). Il écrira aussi de nombreux articles pour diverses revues engagées telles Liberté, Cité libre, Parti Pris et Socialisme, dont il assure la direction de 1968 à 1971. Chargé de cours au Département d’études françaises de l’Université de Montréal (1963-1968) puis professeur de littérature française et québécoise au secteur universitaire du Collège Sainte-Marie (1968-1969), Michel van Schendel est l’un des pionniers de l’étude, de la critique et de l’enseignement de la littérature québécoise. En 1969, il participe à la création de l’Université du Québec à Montréal. Il enseignera au Département d’études littéraires de cet établissement jusqu’à sa retraite en 1999 et y conservera par la suite le titre de professeur associé. Michel van Schendel participe, en 1970, à la création du Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAM au sein duquel il militera activement jusqu’à sa retraite, accédant à la présidence en 1974 et 1975.

La production de Michel van Schendel est vaste. Son travail de théoricien et de critique uni à celui du poète et de l’écrivain a donné naissance à une œuvre exigeante et unique. Presque toutes ses œuvres ont été publiées aux Éditions de l’Hexagone dont il fut l’un des piliers. Gaston Miron l’accueillit en 1958 pour la publication de son premier recueil : Poèmes de l’Amérique étrangère. Suivront notamment Autres, autrement en 1983, Extrême livre des voyages en 1987, Jousse ou la traversée des Amériques en 1996, Bitumes en 1998 et L’œil allumé, contes de la colère triste en 2004.  En 1990, une traduction de ses poèmes en italien est publiée à Rome et en 1995, la prestigieuse maison Bulzoni publie l’ouvrage Traduction : deux voix qui expose le dialogue qui a eu lieu entre le poète et sa traductrice, Lucia Bonato. Son intérêt pour les arts visuels l’a d’une autre part l’amène à collaborer avec plusieurs artistes dont le graveur Louis-Pierre Bougie avec qui il réalisera deux livres : le Jardinier, paru juste avant sa mort, et Les mots griffonnés, dont il ne verra pas le produit final.

Michel van Schendel fut, au cours de sa carrière, intensément impliqué dans la vie culturelle et intellectuelle du Québec (lancements, lectures publiques, festivals de poésie, etc.). Il a reçu plusieurs prix prestigieux notamment, en 1981, le Prix du Gouverneur général du Canada pour De l’œil et de l’écoute et, en 2003, le prix Victor Barbeau de l’Académie des lettres du Québec pour Un temps éventuel. Cette même année, il recevait aussi le Prix Athanase-David pour l’ensemble de son œuvre, soit le plus prestigieux des prix littéraires du Québec. Michel van Schendel est décédé le 9 octobre 2005 en laissant plusieurs œuvres à paraître. Parmi celles-ci, notons L’oiseau, le vieux-port et le charpentier (2006) et Écrits politiques (2007) et Il dit (2008).

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une notice biographique complète du créateur du fonds.

Vaillancourt, Yves (travail social)
Personne

Yves Vaillancourt est né le 2 mars 1941. Étudiant au Collège de l'Immaculée-Conception en philosophie (1963-1965), il poursuit ses études, notamment, à l'Université de Montréal en sciences religieuses (1966-1970) et en science politique, études pour lesquelles il obtient une maîtrise en 1975 et un doctorat en 1992. En 1976, Yves Vaillancourt devient professeur au Département de science politique de l'Université du Québec à Montréal. Entre 1977 et 1981, il est membre du collectif de professeurs qui entreprend une démarche conduisant à la départementalisation du travail social à l'UQAM, laquelle est obtenue à l'automne 1981. Professeur au Département de travail social depuis sa création, il en est le directeur de 1983 à 1987. En 1987, il devient directeur de la revue Nouvelles Pratiques sociales. Auteur de nombreuses publications, Yves Vaillancourt a publié, notamment, cinq cahiers intitulés Les politiques sociales et les travailleurs et L'évolution des politiques sociales au Québec: 1940-1960. Président du Réseau des Politisés Chrétiens de 1971 à 1982, il est membre du comité de rédaction de la revue Relations (1970-1976), membre du Centre de formation populaire, membre du comité Droit au travail et membre du Conseil syndical du Conseil central de Montréal de la CSN entre 1985 et 1989.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une notice biographique complète du créateur du fonds.

Personne

Philippe Vaillancourt est né à Québec le 16 juin 1913. Après des études classiques, il devient membre du comité exécutif de l'Union nationale ouvrière. À Québec en 1943, il est nommé secrétaire fondateur du premier club CCF (Cooperative Commonwealth Federation). Par la suite, il travaille pour les Métallurgistes-Unis d'Amérique puis, en 1946, on le retrouve représentant du Congrès canadien du travail (CCT). Ses débuts à plein temps au sein du mouvement syndical datent du milieu des années 1940. Il réussira à organiser de nombreux secteurs: tabac, chantiers maritimes, employés municipaux de plusieurs villes, industries laitière et manufacturière, etc. Successivement secrétaire du Conseil du travail de Montréal (CTM) et directeur provincial du CCT, Vaillancourt sera aussi vice-président de la Fédération des unions industrielles du Québec (FUIQ) de 1954 à 1956.

L'année 1956 marque un essor nouveau pour le syndicalisme. La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) est créée et Philippe Vaillancourt en devient président honoraire. La même année, il est nommé directeur de l'éducation au Québec pour le Congrès du travail du Canada (CCT devenu le CTC) et y organise des cours de formation syndicale pour les permanents des syndicats affiliés et les futurs instructeurs syndicaux. Membre du Comité fondateur du Nouveau Parti démocratique du Canada (NPD), il contribuera, dans les années 1960, à fonder le Collège canadien des travailleurs. À titre de représentant du milieu syndical, il sera membre entre autres du Conseil supérieur de l'éducation et de l'Institut canadien d'éducation des adultes (ICEA). Au niveau politique, il s'impliquera dans le CCF/NPD au Québec, il aura des liens avec le Parti révolutionnaire canadien-français sous le pseudonyme de Babylas et participera à la fondation du Parti socialiste du Québec. Philippe Vaillancourt est décédé en 1984, à l'âge de 71 ans.

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Tisseyre, Pierre (oeuvre d'Hubert Aquin)
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Pierre Tisseyre est né à Paris en 1909. Il fait des études en droit dans sa ville natale et, à l'âge de 22 ans, il est engagé comme conseiller juridique des Films Paramount en Europe. Il se spécialise alors en droit d'auteur. De 1935 à 1940, il s'installe à New York et devient correspondant pour les revues françaises Candide, Gringoire et Le Petit Journal. Mobilisé en 1940 et capturé par les Allemands la même année, Pierre Tisseyre passe toutes les années de guerre prisonnier dans des camps en Pologne et en Tchécoslovaquie. Il écrit 55 heures de guerre pendant sa captivité. Ce livre, publié par Flammarion, lui vaut le prix Cazes en 1944.

Arrivé à Montréal après sa libération, en 1945, Pierre Tisseyre se consacre au domaine de l'édition d'abord en assurant la publication canadienne de: Le Monde français, Carrefour, et La Vie française. En 1947, il rencontre et épouse Michelle Ahern, speakerine à Radio-Canada. Le couple aura quatre enfants: Michèle, Philippe, Charles et François. En 1948, il se joint au Cercle du livre de France (CLF) comme directeur des opérations montréalaises. Un an plus tard, il crée le prix du Cercle du livre de France.

Dans les années cinquante, il s'implique dans plusieurs associations professionnelles, notamment au sein de l'Association des éditeurs canadiens dont il assure la présidence à plusieurs reprises entre 1958 et 1977. Entre temps, il fonde d'autres maisons d'éditions telles le Cercle du livre romanesque (1952), les Messageries du Saint-Laurent (1960), les Éditions du Renouveau pédagogique (1965) et les Éditions Mirabel (1971). En 1973, il lance la collection Deux solitudes, qui présente les traductions des meilleurs livres d'auteurs canadiens-anglais. En 1987, le Cercle du livre de France change de nom pour les Éditions Pierre Tisseyre. Ce dernier est décédé le 3 mars 1995.

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Tarrab, Gilbert (sciences de la gestion)
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Gilbert Tarrab est né le 28 août 1940. Il entreprend des études en psychologie au début des années soixante à l'Université Paris-Sorbonne. Sa carrière professionnelle débute en 1964. En plus d'être professeur, dynamicien de groupe, psycho-sociologue et auteur de théâtre, il est directeur de la troupe de théâtre d'UT Mineur de la cité universitaire de Paris de 1960 à 1964.

Gilbert Tarrab enseigne au Québec et en France. Il est professeur au collège de Rosemont, au collège Sainte-Marie, à l'Université Paris-Nanterre, à l'Université de Montréal ainsi qu'à l'Université du Québec à Montréal où il enseigne pendant seize ans au Département des sciences administratives, jusqu'en 1993. Le professeur Tarrab se spécialise dans les domaines relatifs aux ressources humaines, à la psychologie industrielle, au comportement organisationnel et à l'évaluation des tâches. Il travaille longtemps sur l'utilisation du Test de Rorschach à des fins de sélection en entreprise. C'est un spécialiste mondialement reconnu dans ce domaine. Il s'intéresse également à la place des femmes dans le domaine de la gestion comme en témoignent ses livres et ses séries d'émissions de télévision.

En plus de sa carrière de professeur, Gilbert Tarrab est consultant indépendant, commentateur pour les médias et auteur de plusieurs publications relatives aux sciences administratives et au théâtre. Il est également directeur de la collection Traces et paroles chez Nouvelle Optique pendant quelques années. Tout au long de sa carrière, particulièrement dans les années 1980 et début 1990, Gilbert Tarrab intervient régulièrement dans la presse écrite. Il publie de nombreux articles et commentaires dans divers journaux, notamment dans Le Devoir. Au cours de sa carrière, il publie également plus d'une vingtaine d'ouvrages et plus d'une centaine d'articles de journaux. Gilbert Tarrab est décédé le 20 décembre 2001 à l'âge de 61 ans.

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Senécal, Irène (arts plastiques)
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Irène Senécal est née le 5 décembre 1901. Elle est au nombre des premiers étudiants à s'inscrire à l'École des beaux-arts de Montréal en septembre 1923. Après avoir complété un cours de professeur de dessin à vue, elle amorce sa carrière d'enseignante en 1929. Jusqu'en 1960, Irène Senécal enseigne principalement dans trois milieux scolaires: l'École des beaux-arts de Montréal, la Commission des écoles catholiques de Montréal et la Commission scolaire de Lachine. Entre 1958 et 1960, elle assure la direction de la section pédagogie artistique à l'École des beaux-arts et y enseigne jusqu'en 1966. Parallèlement, un arrêté en conseil émis en 1960 la nomme directrice des cours pour les jeunes offerts le samedi par l'École et également responsable des centres d'art de la région métropolitaine. Au cours de ces années, Irène Senécal observe, recherche et expérimente de nouvelles méthodes éducatives en milieux scolaires et parascolaires. De cette démarche, elle retient la valeur des méthodes dites actives pour l'enseignement artistique. Elle fait oeuvre de pionnière en matière d'éducation par l'art au Québec. Irène Senécal est décédée le 25 novembre 1978.

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Sabourin, Jean-Guy (théâtre)
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Jean-Guy Sabourin est né à l'Orignal en Ontario en 1934. Passionné de théâtre, il s'oriente très tôt vers l'art dramatique. En 1956, il fonde le théâtre Les Apprentis-sorciers, troupe d'amateurs exerçant un mode de gestion original, soit l'autogestion, et qui opte pour un répertoire cadrant difficilement avec celui des théâtres d'avant-garde. En 1966, Jean-Guy Sabourin devient directeur du Service du théâtre du ministère des Affaires culturelles du Québec. Il y restera un an. Par la suite, il retourne à l'enseignement au Collège Sainte-Marie et s'intéresse au développement de l'enseignement du théâtre. L'enseignement est pour Jean-Guy Sabourin, la seule façon de répandre sa passion pour le théâtre. En 1968, le Centre national des Arts d'Ottawa l'invite à créer une section théâtre français. Il fondera alors le Théâtre du Capricorne dont il sera le directeur artistique. En 1970, il quitte Ottawa et revient à l'enseignement à l'Université du Québec à Montréal où il participe à la mise en place des programmes d'études de théâtre. En 1972, il est nommé directeur artistique du Théâtre populaire du Québec. Il y restera jusqu'en 1976 alors qu'il quitte ce Théâtre pour créer le Théâtre de La Grande Réplique, associé au Regroupement Théâtre et Danse de l'Université du Québec à Montréal.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une notice biographique complète du créateur du fonds.