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Notice d'autorité
Revue Voix & Images
Collectivité

La revue Voix et images est créée en 1975. Elle trouve ses origines dans la collection Voix et images d'un pays, témoin de l'émergence, à la fin des années 1960, d'une nouvelle littérature québécoise. Parmi les fondateurs, on trouve, entre autres, André Vanasse, Robert Lahaise, Noël Audet, Madeleine Greffard, André Belleau et Hubert Aquin, tous à l'origine du Département d'études littéraires de l'UQAM. Voix et images poursuivra l'objectif fondamental de son prédécesseur qui consiste à publier des études consacrées exclusivement à la production culturelle québécoise. Publiée trois fois par année sous l'égide du Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal, Voix et images se définit comme la revue des études québécoises.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.

Théâtre de l'Égrégore
Collectivité

C'est dans le contexte de la Révolution tranquille qu'est fondé en 1959 le théâtre de l'Égrégore. La fondatrice et directrice artistique, Françoise Berd, s'associera au peintre Jean-Paul Mousseau, à Rolland Laroche, André Pagé et Gilbert Fournier, pour faire de cette troupe l'un des éléments les plus dynamiques de la vie artistique montréalaise de l'époque.

Considéré comme l'un des premiers théâtres professionnels d'avant-garde de la métropole, l'Égrégore sera une compagnie ouverte sur un théâtre universel et de qualité. Après Dostoïevsky, dont le texte Une femme douce marque ses débuts et lui vaudra le premier prix du Congrès du spectacle en 1960, l'Égrégore poursuit avec les pièces de Samuel Beckett, August Strinberg, Tenessee Williams, Anton Tchekhov, Alfred Jarry et Eugène Ionesco, entre autres. Dépouillement, stylisation et recherche de nouveaux moyens d'expression caractériseront ces productions qui attirent au fil des saisons un public de plus en plus large et diversifié. En parallèle à ses spectacles réguliers et une tournée européenne, la compagnie offrira aussi des soirées de poésie et de chansons dont certaines seront de véritables événements poétiques.

À partir de 1962, un débat s'amorce au sein de la direction de l'Égrégore concernant l'irreligion et le contenu de certains textes présentés. Malgré une menace de fermeture, le théâtre reste ouvert mais les tensions s'aggravent entre le Conseil d'administration, qui veut un répertoire plus populaire, et la fondatrice qui veut maintenir la vocation première de recherche et d'expérimentation. En 1965, Françoise Berd se retire de la compagnie qui cessera ses activités en 1966.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.

Collectivité

L'assemblée générale de fondation du Syndicat des professeurs de l'Université du Québec à Montréal (SPUQ) a lieu le 19 octobre 1970. Cette décision faisait suite au rejet, par l'assemblée générale des professeurs, du projet de convention collective négocié par l'Association des professeurs de l'Université du Québec à l'automne 1970. Le 23 janvier 1971, le syndicat regroupant professeurs, vice-doyens et directeurs de départements et modules recevait son accréditation. En s'affiliant au Conseil des syndicats nationaux (SPUQ-CSN), il devenait le premier syndicat de professeurs d'université accrédité et affilié à une centrale ouvrière. Suite à la grève d'octobre 1971, le SPUQ signe sa première convention collective. Le Conseil syndical met alors sur pied un réseau de comités pour veiller à son application et délègue des représentants au sein de diverses instances internes et d'organismes externes à l'UQAM. Par la suite, l'énergie des militants sera mise au profit de la grève étudiante de 1973, de la réforme Despré en 1974, de la grève des professeurs de l'UQAM en 1976 et de celle des chargés de cours en 1979. Au début des années 1980, le SPUQ se penche sur les problèmes de développement et de financement de l'UQAM et sur l'accessibilité aux études universitaires. À cet effet, plusieurs colloques seront organisés, un mémoire sur l'éducation des adultes sera présenté à la Commission des études et divers textes seront publiés dans une collection intitulée "Études et documents". Le SPUQ participe et organise régulièrement divers colloques, journées d'études et séminaires. En 1996, il célébrait ses vingt-cinq ans d'existence.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.

Collectivité

Accréditée le 26 août 1969, l'Association des professeurs de l'Université du Québec à Montréal (APUQ) regroupe les professeurs alors rattachés à la constituante de l'Université du Québec à Montréal. En tant qu'association professionnelle, l'APUQ n'est affiliée à aucune centrale syndicale. Plusieurs de ses dirigeants sont des anciens membres de l'Association des professeurs du Collège Sainte-Marie. Au cours des années 1969 et 1970, le mandat principal de l'APUQ est la négociation de la première convention collective du corps professoral de l'UQAM. Elle s'occupe aussi de questions reliées aux problèmes des assurances collectives et à la reconnaissance de l'Association par l'administration universitaire. Toutefois, l'APUQ s'avère incapable de résoudre certains problèmes majeurs, tels que les non-renouvellements de contrats de professeurs en philosophie et en langues modernes ainsi que la signature d'une convention collective satisfaisante. Ces difficultés amènent plusieurs professeurs à opter pour la création d'un syndicat accrédité et affilié à une centrale syndicale. L'accréditation du Syndicat des professeurs de l'Université du Québec à Montréal (SPUQ-CSN), le 25 janvier 1971, met fin à l'existence de l'APUQ; elle sera officiellement dissoute en 1977.

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Collectivité

Le 11 juin 1923, le frère Marie-Victorin convoque une première réunion pour jeter les bases d'une société de naturalistes canadiens-français. Les constitutions, buts, programmes d'études sont adoptés le 8 novembre de la même année. La Société canadienne d'histoire naturelle sera toutefois incorporée quelques années plus tard, en novembre 1945. De façon générale, la Société veut diffuser et promouvoir les sciences naturelles au Canada français. Concrètement, elle a pour buts d'étudier et de vulgariser les sciences naturelles, d'inciter le développement des recherches dans ce domaine et d'établir des relations entre les naturalistes canadiens-français et étrangers. À cette fin, elle publie des textes scientifiques et de vulgarisation, elle organise des conférences, des expositions publiques et des excursions.

Entre 1925 et 1940, le frère Marie-Victorin préside les travaux de la Société qui lui fournit titre et tribune. Les projets qu'il formule, notamment la création d'un Jardin botanique à Montréal et la fondation de Cercles de jeunes naturalistes (CJN), animent la vie de la Société. À partir de 1950, la Société canadienne d'histoire naturelle accorde de plus en plus d'importance à l'expansion du Mouvement des CJN. Elle participe activement à l'organisation des expositions et des congrès des jeunes naturalistes, elle les dote d'un organe d'information officiel, en 1953, et organise un camp de jeunes naturalistes au lac Ouareau, en 1954. Toutefois, l'autonomie du Mouvement CJN oblige la Société canadienne d'histoire naturelle à se redéfinir. Dès 1959, elle n'exerce plus aucune animation et sera officiellement dissoute en 1972.

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Services aux collectivités
Collectivité

Les Services aux collectivités de l'Université du Québec à Montréal sont créés le 12 février 1991 par résolution du Conseil d'administration de l'Université. Dès 1969, les fonctions relatives aux services aux collectivités sont assurées par les Services communautaires. En février 1991, suivant une scission des Services communautaires, les Services aux collectivités sont créés afin d'accroître la visibilité de cette fonction.

Liste des directeurs :
France Laurendeau, nommée le 3 janvier 1992;
Michel Lizée (intérim), nommé le 4 janvier 1993;
Claude Magnan (intérim), nommé le 1er mars 1995;
Claude Magnan, nommé le 28 août 1995;
Liliane Goulet, nommée le 22 septembre 1999.

Collectivité

Le Service des archives et de gestion des documents de l’Université du Québec à Montréal est créé le 16 octobre 1969 par résolution du Conseil d’administration de l’Université. Fonctionnant d’abord sous la dénomination d’Archives centrales de l’UQAM, en septembre 1972, l’unité figure à l’organigramme de l’Université sous le nom de Service des archives. Cette dénomination est modifiée le 24 mai 1994 pour Service des archives et de gestion des documents.

Liste des directeurs :
Hélène Solyak, nommée le 10 août 1970;
Sato Byl (intérim), nommé le 13 novembre 1972;
Bozena Jilek (intérim), nommée le 25 juillet 1973;
Bozena Jilek, nommée le 4 décembre 1973;
Christiane Huot, nommée le 27 septembre 1983;
André Gareau, nommé le 5 janvier 2011;
Cédric Champagne, nommé le 1er septembre 2016.

Service de pédagogie universitaire
Collectivité

Le Service de pédagogie universitaire de l’Université du Québec à Montréal est créé le 14 janvier 1975 par résolution du Conseil d’administration de l’Université en remplacement du Centre d’application des médias technologiques à l’enseignement et à la recherche (CAMTER). Ce dernier, créé le 21 juin 1972 par la Commission des études de l’Université se voit chargé d’offrir divers services pédagogiques en collaboration avec le Service d’expérimentation et de développement de pédagogie universitaire (SEDPU), service dont la création ne se réalisera jamais. C’est à la demande des départements, des modules et du Centre lui-même que se concrétisera la création du Service de pédagogie universitaire en 1975.

Le 15 octobre 1985, dans le but d’améliorer les services offerts, les activités du Service de pédagogie universitaire sont transférées au Bureau de la recherche institutionnelle et au Décanat des études de premier cycle.

Liste des directeurs :
Jean-Guy Meunier (intérim), nommé le 1er juin 1975;
Jean Dumas, nommé le 11 septembre 1975.

Service de l'audiovisuel
Collectivité

Le Service de l’audiovisuel de l’Université du Québec à Montréal est créé le 16 octobre 1969 par résolution du Conseil d’administration de l’Université.

Liste des directeurs :
Yvon Lavallée, nommé le 16 octobre 1969;
Robert Dufour, nommé le 1er juin 1970;
Jean Dumas, nommé le 19 juillet 1976;
Eugène Prévost, nommé le 13 septembre 1983;
Pierre Bélanger (intérim), nommé le 16 décembre 1986;
Pierre Bélanger (intérim), nommé le 17 juin 1987;
Rhéal Sauvé, nommé le 7 août 1989;
Denis Vaillancourt, (intérim), nommé le 15 octobre 1997;
Denis vaillancourt, nommé le 17 décembre 1997;
Gilles Boulet, nommé le 5 janvier 2012;
Martin Rivet, nommé le 1er octobre 2013.

Revue Vie des Arts
Collectivité

Au printemps 1955, des pourparlers s'engagent pour fonder une nouvelle revue qui prendrait la relève d'Arts et Pensée. Une réunion se tient le 26 novembre 1955, dans le but de constituer une société et d'élire un groupe de directeurs, de représentants juridiques et de responsables de la future revue d'art. Le futur directeur de Vie des Arts, Gérard Morisset, insiste alors sur la nécessité d'assurer l'existence d'un organe d'information dans un milieu de plus en plus sensible à la production artistique. La réunion du 26 novembre 1955 permet de mettre sur pied le Comité de direction de la revue Vie des Arts et son Conseil d'administration. Le premier numéro de la revue Vie des Arts paraît en janvier-février 1956. En 1973, les administrateurs décident de modifier les pouvoirs de la Société afin qu'elle puisse, entre autres, contribuer à l'avancement de l'éducation artistique, diffuser l'art canadien au pays et à l'étranger, et organiser tout activité qui pourrait être opportune (symposium d'art, visites de musées, etc). Les subventions du Conseil des arts du Canada, du ministère des Affaires culturelles du Québec, du Conseil des arts de la région métropolitaine ainsi que le soutien financier de d'autres sociétés mécènes contribuent à assurer la continuité de l'entreprise. Au fil des décennies, la revue Vie des Arts est devenue un canal de communication privilégié entre les artistes et le public.

N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.