Zone d'identification
Type d'entité
Forme autorisée du nom
forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d’existence
Historique
S'inscrivant dans le prolongement de l'Oeuvre des vacances des Pères Jésuites, le Centre des loisirs Immaculée-Conception ouvre ses portes en septembre 1951. Grâce à des campagnes de souscriptions organisées dès 1945, la construction du Centre est entreprise, en 1950, sur la rue Papineau, dans la paroisse Immaculée-Conception. Marcel de la Sablonnière, jeune Jésuite sportif et avant-gardiste, devient le directeur du Centre et le demeure jusqu'en 1993. Au programme des activités physiques figurent, entre autres, le hockey, le ski, le baseball, le badminton, la gymnastique, l'escrime et la boxe. Parallèlement, des activités socioculturelles et récréatives sont organisées telles qu'une troupe de danse folklorique, un atelier d'artisanat et de menuiserie et une bibliothèque. Le Centre organise aussi des projections de films, des récitals, des danses, des carnavals d'hiver, des concours amateurs, etc. Après l'ouverture du Centre, les membres ont accès à une piscine, à une salle de quilles et sont invités à participer, notamment, aux activités d'une section de judo (1956), d'un corps de clairons (1958) et d'une équipe de soccer (1961). En 1960, le Club social du Centre est créé et, l'année suivante, une garderie est ouverte.
Au cours des années 1960, le Centre se modernise, le nombre de ses activités augmente et du personnel régulier et permanent est engagé. En 1962, le Centre achète une propriété au Lac Quenouille et fonde L'Auberge Le P'tit Bonheur, ainsi que le camp de vacances Jeune-Air en 1965. Par la diversité de ses activités sportives et socioculturelles, le Centre des loisirs Immaculée-Conception contribue activement à la promotion des sports et des loisirs au Québec.
N.B. : le texte précédent a été rédigé à partir des documents contenus dans le fonds d’archives en notre possession et ne constitue pas une histoire administrative complète de l’organisme créateur du fonds.