Le dossier témoigne de l’implication d’Henri Gagnon au sein d’un organisme venant en aide aux sinistrés et aux familles sans logis. Il porte sur l’éviction de familles de l’école Jean-Baptiste Meilleur, sur la crise du logement, le rôle du gouvernement de Montréal auprès des sinistrés, sur la lutte pour le droit au logement, les revenus familiaux, le bien-être social, les logements sociaux à loyer modique, les secours financiers pour l’aide aux sinistrés, sur des participations à des conférences de presse, le boycottage du teach-in, les Ateliers d’éducation populaire de Mercier inc., l'Hôtel des sinistrés olympiques ainsi que sur les interruptions de gaz et d’électricité dans des logements de familles à faible revenu. Le dossier contient des textes, des communiqués de presse, des coupures de presse.

Le dossier témoigne de l’implication d’Henri Gagnon au sein de la Ligue des vétérans sans logis. Il porte sur les activités de la ligue, notamment le mouvement des squatters, la relocalisation des familles évincées par leur propriétaire, l’organisation de manifestations d’étudiants ainsi que sur l’établissement d’un camp pour des familles sans logement dans le parc de l’Île Sainte-Hélène. Le dossier porte aussi sur la loi du cadenas, sur la crise du logement, sur une plainte de conspiration contre Henri Gagnon, Napoléon Auger et David Durocher ainsi que sur l’arrestation de squatters. Le dossier contient des textes, des coupures de presse et des épreuves.